Un sujet complexe, mais qui n'a pas eu raison de notre bonne humeur! Excellente ambiance, le Bourgogne a bien contribué à suspendre le temps...
5 commentaires:
Susan
a dit…
Un petit mot pour vous dire que j'ai passé un excellent moment en votre compagnie samedi. Je me suis régalée des nourritures terrestres comme spirituelles en compagnie des ces inconnus dont je me suis sentie très proche. A une prochaine fois sûrement même si je pense qu'il faut garder le principe de nouvelles têtes si possible à chaque fois.
Cette soirée était tout simplement parfaite ! Les amis à découvrir, le dîner délicieux et inattendu, le sujet énigmatique, la discussion riche elle aussi. [...] Merci pour cette respiration ! Pourrait-on avoir les qlqs références livresques qui ont été citées ? J’ai notamment chopé « l’idéal persécuteur » dans la bouche de Bernard, que j’aimerais creuser… Quel est ton bouquin de philo auquel tu te référais ?
Créée en mai 2009 chez moi à Paris, elle a pour vocation d'allier la convivialité d'un bon repas à un débat. J'ai souvent été frustré par les diners en ville où le zapping d'une conversation à une autre est la règle. Je vous invite donc de temps en temps à venir goûter ma cuisine et débattre du sujet proposé, et surtout à se faire plaisir : plaisanteries et bonne humeur n'ont jamais nuit ! Je me fais généralement aider côté cuisine pour le service ainsi que côté débat par d'anciens accolytes des Cafés Philo.
QUI SUIS-JE ?
Cuisinier expérimenté
Co-fondateur des Cafés Philo
Dirigeant de iNex (économie circulaire) et Agripolis (agriculture urbaine)
C'est Platon qui l'a dit ...
(traduction-interprétation de Alain Badiou, La République, 491b sq.)
" [...] quand on se réunit [...] pour boire un coup et bavarder, que voit-on ? Qu'entend-on ? Tout le monde blâme ou applaudi des déclarations, des idées, des actions, des guerres, des films, tout ça dans un désordre privé de tout principe rationnel à valeur universelle. Il y a une joyeuse et sinistre exagération vaguement coléreuse, aussi bien des huées que des applaudissements. On dirait que les grandes surfaces vitrées des immeubles répercutent partout dans la ville de la même rumeur, conflictuelle en apparence, consensuelle en réalité, faite de toutes les opinions si âprement contrastantes qu'aucune ne l'emporte, sinon celle qui prescrit :" je suis en tout cas libre de dire n'importe quoi". Et c'est ce " n'importe quoi" qui vient à bout du naturel philosophe."
5 commentaires:
Un petit mot pour vous dire que j'ai passé un excellent moment en votre compagnie samedi. Je me suis régalée des nourritures terrestres comme spirituelles en compagnie des ces inconnus dont je me suis sentie très proche.
A une prochaine fois sûrement même si je pense qu'il faut garder le principe de nouvelles têtes si possible à chaque fois.
Cette soirée était tout simplement parfaite !
Les amis à découvrir, le dîner délicieux et inattendu, le sujet énigmatique, la discussion riche elle aussi. [...]
Merci pour cette respiration !
Pourrait-on avoir les qlqs références livresques qui ont été citées ?
J’ai notamment chopé « l’idéal persécuteur » dans la bouche de Bernard, que j’aimerais creuser…
Quel est ton bouquin de philo auquel tu te référais ?
je ne sais pas si "je suis le temps", mais je sais une chose c'est que j'ai passé une très bonne soirée. Merci.
A très bientôt
Merci encore pour la très bonne soirée !
Merci Pascal pour savoir solliciter ces moments d'échange.
La quête du temps et du savoir mérite que l'on s'y arrête.
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